Rebeu teteur racconte le tournage de cette vidéo :
Depuis plusieurs années, j’attends avec impatience, les vidéos d’Andolini sur Citebeur, surtout celles où il se laisse caresser et tripoter par un autre mec. Il faut dire que j’ai toujours fantasmé sur les mecs musclés, voire bodybuildés sans jamais réussir à passer à l’action. J’aimerais pouvoir admirer, caresser, palper, masser un mec exagérément musclé, mais ça ne court pas les rues ! Je suis un petit beur mignon de 29 ans.
Ma rencontre avec Andolini, mon fantasme chez citebeur
Un jour, je me décide à contacter andolini par mail. Nous échangeons quelques messages afin de cerner les attentes de chacun. Je lui explique que j’aime les mec plutôt soumis et obéissant, s’il est partant. Nous fixons donc un rendez-vous Gare Montparnasse : J’ai un séminaire de 2 jours sur Paris et je profite de l’occasion pour une rencontre. Ma seule exigence : qu’il soit à m’attendre sur le quai à l’arrivée de mon train face à la porte de la voiture 12 (dans laquelle je me trouve). Il me demande si une tenue particulière me ferait plaisir ; je lui réponds bombers, torse nu en dessous (éventuellement un t-shirt ultra moulant, comme une seconde peau pour bien mettre en valeur ses muscles). Il est OK : rien que pour ça, un de mes plus gros fantasmes est sur le point de se réaliser… (je suis fétichiste de bombers et surtout de doudounes…)
Mon TGV arrive en gare, je sors et vois un mec en bombers, adossé à un pilier. Je vais vers lui et dis juste
– Andolini ?
– Oui !
Je me contente de lui tendre mon sac de voyage pour qu’il le porte. Quitte à avoir un mec puissant sous la main, autant qu’il porte les bagages… Je suis dans un état d’excitation avancé, une gaule naissante fait gonflé mon jean et j’ai hâte d’arriver à l’hôtel voir ce qui se cache sous ce bombers zippé jusqu’en haut.
Nous descendons dans le métro, ligne 6. Il y a beaucoup de monde sur le quai ce dimanche vers 19h. Nous ne parlons pas, je prends soudain conscience que je vais enfin pouvoir posséder un mec au corps comme je les aime, parcourir ses épaules larges, caresser les biceps énormes et bulbeux, prendre à pleines mains ses pecs épais et saillant (la partie du corps que je kiffe par-dessus tout). Je voudrais que tout le monde sache, sur ce quai bondé, que le mec bardé de muscles à coté de moi m’appartient pour la soirée. Qu’ils sachent tous qu’il est ma chose, qu’ils voient à quel point il est musclé mais qu’ils ne pourront pas y toucher, il est rien que pour moi. Je voudrais qu’ils m’envient…
Nous rentrons dans la rame, nous sommes sérés les uns contre les autres et je n’aime pas ça. Je me rapproche d’Andolini pour qu’il me protège de ces inconnus. Trois stations plus loin, beaucoup descendent et même s’il reste pas mal de monde, nous avons de la place. Je me remets à penser que j’aimerais que tous ces inconnus sachent que ce mec à la musculature surdéveloppé est pour moi. Je lui dis :
– Ouvre ton bombers !
Sa bite énorme… comme ses pectoraux
Il baisse le zip de son blouson et laisse apparaître un torse puissant gonflé par des heures de muscu. Même dans mes pensées les plus chaudes, je n’aurais osé imaginer des pecs aussi développés. Je me mets à triquer direct ! Je fais un tour d’horizon des autres voyageurs : la majorité n’a rien remarqué, mais certains regarde du coin de l’œil ce mec qui exhibe, en plein hiver, son torse musclé à mort. Ça m’excite grave, mais ce n’est pas suffisant ! maintenant, je veux qu’ils sachent qu’il est A MOI ! J’ordonne donc à andolini
– Mets-toi à genoux à mes pieds
– Ici ? Devant tous ces gens ?
– Oui ! Je veux qu’ils te matent et qu’ils comprennent que tu m’appartiens !!!
Il s’exécute donc… Même si la situation me met très mal à l’aise (je suis plutôt du genre timide et très conventionnel), je kiffe cette soumission qu’il m’accorde. Je ne pensais pas être capable d’ordonner quoi que ce soit à un mec… et encore moins qu’il obéisse sans résistance ! Beaucoup de voyageurs nous ont remarqués maintenant : certains sont perplexes, d’autres sont outrés et quelques uns sont curieux. Il y en a même un qui se caresse l’entre jambe, la main dans la poche de son jogging. Il me sourit en coin, essaie de masquer le renflement au niveau de sa braguette. Il sait, lui, que je vais passer une bonne soirée. Il m’envie sûrement de posséder un mec aussi musclé, avec un corps aussi parfaitement dessiné que l’on voit uniquement dans les magazines gays ! Nous arrivons à la station près de l’hôtel, j’aurais envie de continuer à exhiber andolini dans tout Paris, mais j’ai aussi grave envie de découvrir tout le reste de ce corps, objet de tous mes fantasmes les plus anciens. Je lui fais signe de se relever, il reprend mon sac et nous quittons le métro. Ça caille un peu dehors et je le vois donc rezipper son blouson :
– Qui t’a permis de refermer ?
– Je… heu…
Il baisse les yeux et exhibe à nouveau ce torse de malade. Je commence à prendre de l’assurance dans mon rôle de domi ce qui me surprend. Même si j’ai toujours été 200% actif, je n’ai jamais eu l’occasion de dominer un mec (à part dans mes pensées les plus secrètes) et cela me charge d’adrénaline… Il est grand temps que l’on arrive à l’hôtel sinon je vais violer direct sur le trottoir !
Je récupère la clé de ma chambre et nous nous engouffrons dans le minuscule ascenseur. Pendant que les portes se ferment je mate enfin dans la lumière ce torse puissant et volumineux. J’ai envie de toucher mais reste étonnamment statique, incapable de seulement l’effleurer.
Nous rentrons dans la chambre, je retire ma doudoune, il pose mon sac et je reste là, à un mètre de lui, admirant simplement ce que son bombers ne cache pas : le creux de ses pecs et ses abdos auxquels je n’avais pas encore prêté attention. Ils sont magnifiquement dessinés et incroyablement saillants et volumineux ; ils ne peuvent pas être naturels, c’est impossible… mais après tout, je me fous bien de quels produits il a pu prendre tant que le résultat est aussi magnifique. Il me dit :
– Je suis ta chose, fais moi ce que tu veux
Ces mots m’électrisent et pourtant je ne peux pas bouger. Je lui demande enfin de retirer son bombers, je ne bouge toujours pas. Je ne peux qu’admirer ce corps parfait, puissant…
J’emplis mes yeux de ses épaules larges, ses bras puissants, ses pecs bulbeux, ses abdos secs parfaitement dessinés. Il décide à ce moment de gonfler ses muscles, de s’exhiber encore plus pour moi. Il prend des pauses pour gonfler ses biceps ce qui m’excite encore plus ; je me rapproche un peu et tends ma main pour enfin effleurer cette boule de muscle. Timidement, je commence à caresser tout son corps en remontant vers les épaules du bout des doigts puis je descends vers les pecs que je commence à caresser de toute ma main. Et là, il me répète :
– Fais-toi plaisir, je suis à toi, profite !
Je prends donc ses pecs à pleines mains, je les malaxe. Cela m’excite comme un malade, je commence à avoir envie de lui faire choses sales, le soumettre comme une pute mais je suis timide et je voudrais respecter ce corps magnifique qu’il m’offre…
Je lui titille le téton droit, d’abord du bout des doigts puis avec ma paume et enfin avec ma langue et le bout de mes dents, il gémit…il y prend du plaisir, sa queue est soulevée par des spasmes de plaisir. Il descend sa main vers son entrejambe et ouvre son jean, il sort sa bite pour s’astiquer mais je l’en empêche : je ne veux pas qu’il se branle puisqu’il est là pour MON plaisir. Je continue à parcourir son corps avec mes mains : ses abdos, ses bras, ses épaules…
Je passe derrière lui et lui attrape les pecs à pleines mains. Je bande comme un âne, ma queue ne tient plus dans mon jean mais je kiffe ce moment où son corps défile sous mes mains, j’ai envie d’en profiter. Je finis baisser son jean à ses chevilles pour caresser ses fesses musclées et rebondies ; c’en est trop, il y a comme une décharge électrique en moi : ce mec m’appartient et je compte bien en profiter. Mon coté dominateur reprend le dessus et je vais faire de lui ma pute pour un moment…
– Mets-toi à genoux, mains sur la nuque
Il obéit ce qui me permet de t’admirer de haut. Je caresse ses biceps gonflés dans cette position. J’ai envie de l’humilier encore plus, le loper. Je lui ordonne de se mettre nu, face au mur, jambes écartées, les mains contre le mur et me place derrière lui. J’ai une vue parfaite sur son cul. J’enduis mes doigts de gel et lui enfonce direct 2 doigts sans ménagement bien profond dans la rondelle. Il sursaute de surprise et pousse un cri de douleur mais je reste bien calé au fond, je ne bouge plus. Cet acte à 3 objectifs : premièrement, je m’assure qu’il est bien séré du cul (rien de pire que baiser un mec trop ouvert et de ne pas toucher les bords !), deuxièmement, vérifier qu’il est bien propre : si jamais mes doigts ressortent souiller, faudra me les nettoyer et enfin l’humilier bien comme il faut et lui montrer qui est le boss !
Je ressors mes doigts et constate qu’ils sont nickels. Sa rondelle est bien serrée mais je sais comment faire en sorte qu’elle le soit plus encore. Je lui ordonne de se mettre à genoux à mes pieds et de se branler, je veux qu’il aille jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’il jouisse tout seul, comme un con. Tout le monde sait, qu’après avoir juté, un mec est bien plus serré du cul et en plus, il prend beaucoup moins, voire plus du tout de plaisir ; et il est là pour MON plaisir. Je veux qu’il s’offre totalement à moi et cela passera par l’absence de son plaisir personnel. Je vois qu’il est prêt à tout larguer, je place ma skate shoes sous sa queue pour qu’il jute dessus. Il balance de longs jets épais et abondants faisant de longues traînées blanchâtres sur ma paire de Vans Revert en cuir noir.
– Lèche-moi ça ! Je veux qu’elles soient nickelles !!!
Pendant qu’il nettoie mes shoes, je me penche pour tester à nouveau sa rondelle. Je suis obligé de forcer pour pénétrer un seul doigt. C’est exactement comme ça que j’aime un cul : quand il faut forcer un peu. Je m’imagine déjà dedans, avec, comme un bruit de fond, les petits cris de douleur de andolini… wouahhhhh… je vais grave kiffer. Je vois que mon Tas-de-muscles est déçu, il ne voulait pas jouir comme ça. Il me regarde penaud, abattu, démotivé. Je décide de lui attacher les mains dans le dos avec mon écharpe, juste au cas où… et je le « rassure » :
– Maintenant mec, on va passer aux choses sérieuses !
– On va attendre un peu que je recharge, je préfè…
– Ferme-la !!! On va rien attendre du tout ! tu es ma chose, m’oblige pas à te baiser de force !
J’aimerai tellement qu’il m’y oblige pourtant… mais il baisse les yeux et se soumet. Je vais enfin niquer un mec entravé et musclé comme j’en rêve depuis longtemps. Il ne pourra qu’encaisser mes assauts et attendre que j’en finisse avec son cul… et pas d’bol, je suis TRES endurant. Il va morfler !
Voir ce corps bardé de muscles résigné à m’obéir m’excite comme un malade. Le pouvoir que j’ai sur lui me fait me sentir invincible ! Je sors ma queue
– Suce-moi !
Il a beau avoir ce corps puissant, il n’est maintenant à mes yeux qu’une pédale soumise qui fera TOUT pour mon plaisir. Ma queue est maintenant dans cette caverne de plaisir humide et chaude qu’est sa bouche mais ce n’est pas suffisant. Je l’attrape par les cheveux
– Applique-toi !
Ma respiration s’accélère, je suis de plus en plus excité, comme jamais auparavant. Je passe mes mains derrière sa nuque et entreprends de lui baiser la gorge. Il résiste mais mon étreinte est installée. Je force et arrive derrière les amygdales. Des larmes perlent sur ses joues mais je m’enfous, je prends mon pied et c’est tout ce qui compte. Je lis dans ses yeux grands ouverts qu’il me supplie d’arrêter…
Je dessers mon étreinte, détache ses mains et le laisse me sucer à son rythme. Ça a du lui servir de leçon car il est beaucoup plus performant. Je vois sa main droite s’approcher de sa queue et commencer une masturbation lente et instinctive de sa queue encore molle. Je l’attrape à nouveau les cheveux et tire violemment sa tête en arrière
– Qui t’a permis de te branler ? La prochaine fois, je te rattache les mains et pour de bon cette fois !
Tu te contentes de baisser les yeux…
Je sens mon jus monter, je pousse des râles de plaisir. Je profite de ce moment d’extase où un mec bodybuildé est à genoux à mes pieds, soumis malgré sa puissance. Je lui inonde la gueule de longs jets de foutre jusqu’au fond de la gorge. Sa main droite s’empare de sa queue bandée et l’astique frénétiquement.
– Je t’avais pourtant prévenu !!!
Je m’empare de mon écharpe et lui attache les mains bien serrées dans le dos. Maintenant il est vraiment à moi. Ce corps fait de muscles saillants est à moi… J’aimerais l’exhiber ainsi devant la Terre entière : montrer à tout le monde que ce mec musclé est MA propriété ! Mais ce sera pour une autre fois, j’ai d’autres projets pour l’instant. Il m’appartient, il n’y a plus de limites, je ne me préoccupe plus de ce qu’il peut vouloir, son plaisir m’indiffère… seul le mien compte maintenant !
Maintenant que j’ai jouis une première fois, je suis prêt à le baiser sans ménagement, à l’utiliser comme un trou, comme un sextoy… et l’avantage, c’est que ça va durer BEAUCOUP plus longtemps. Bref, mieux vaut qu’il soit vraiment endurant !
Avant de pouvoir le niquer, il faut que je me soulage la vessie. Je le fais donc remettre à genoux à mes pieds, corps légèrement en arrière les mains toujours attachées dans le dos. Je lâche un premier jet d’urine bien chaude puis t’inonde tout le corps. Voir ruisseler ma pisse sur son corps musclé me fait rebander direct. Je le fais sucer mon gland pour bien le nettoyer puis enfile une capote et dépose une petite goutte de gel à la pointe de mon gland. Je le retourne sans ménagement sur le ventre, écarte ses cuisses puissantes et pointe ma queue sur sa rondelle.
A ce moment j’ai une vue imprenable sur ses mains, liées dans son dos, entravées, il ne peut qu’encaisser sans broncher. Cela m’excite comme un porc et je le pénètre direct jusqu’à la garde d’un seul coup de rein puissant. La petite quantité de gel ne suffit pas pour une glisse sans accroc et il hurle de douleur ce qui me rend fou d’excitation ! Je lui attrape donc les cheveux, tire sa tête en arrière et commence de puissants coups de reins rapides et profonds…
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