Lucas et Fares, c’est une rencontre qui respire le lourd direct. Fares, c’est pas un petit joueur, le mec sort du sport, en survêt large, torse nu, la sueur qui brille, et la teub déjà bien réveillée sous le tissu. Pas de douche pour lui, il sait que Lucas est en mode chien de la casse pour les odeurs bien viriles. Les chaussettes blanches viennent de quitter les skets, l’ambiance est posée, brut, comme il aime.
Lucas, lui, est direct en mode soumission dès qu’il entre dans le sous-sol sombre. Le gars a l’odorat en éveil, ça sent la testo, et ça le met dans un état de dingue. Fares, avec sa cagoule, le regard perçant, fait passer le message sans parler : c’est moi le boss ici. Et Lucas le sait. Fares a déjà dompté des meufs et des mecs, mais là, avec Lucas, c’est un autre niveau, le mec est en totale kiffance sur sa teub. Il est là pour une chose, se faire démonter sévère.
Lucas se met direct à genoux, pas besoin de consignes, il sait ce qu’il a à faire. Fares sort son gros zob circoncis, bien dur, prêt à tout défoncer. Lucas, il s’attaque à chaque centimètre avec détermination, sa langue travaille sans relâche. Fares, lui, kiffe, mais il garde le contrôle. Il balance des regards puissants à Lucas, lui rappelle qu’il est là pour servir.
Et quand ça devient intense, tu sens que Lucas est en feu, prêt à tout prendre. Le boss continue de le pilonner, et au moment où ça monte, Fares se lâche complètement. Il arrose Lucas d’une explosion de foutre, chaque goutte est pour lui. Lucas en voulait, il en a eu, et Fares, fidèle à son style, ne fait jamais les choses à moitié. C’est du lourd, de l’intense, exactement ce que Lucas attendait.
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