Salim : le cefran que j’ai baisé dans la backroom ce week end

Slm tout le monde !

Moi c’est Salim, Parisien de 28 ans.

Le week end dernier j’étais au Dépôt à Paris pour boire quelques verres avec un pote qui cherchait comme moi des culs à baiser.

Je l’ai lâché plus tard dans la soirée, voyant qu’il branchait un petit mec, et je suis allé dans les couloirs de la darkroom pour trouver un vide couilles.

Il m’a pas fallu trop longtemps avant de rencontrer un petit cefran en vacances sur la capitale bien sexy qui avait (si mes souvenirs sont bons) 25 ou 26 ans. Un léger accent du sud, brun mais clair de peau, yeux bleus ou verts, plutôt fin & sportif je pense.

Il était pas très chaud pour qu’on s’isole dans une cabine, trop timide, j’ai du utiliser ma tchatche et mon regard charmeur durant une vingtaine de minute pour le faire craquer… et finalement il a accepté , yes !!!

Je le conduit à une cabine, je le fait passer devant, tranquil, on est gentleman ou on l’est pas !

Et je laisse la porte entrouverte tout en commençant à débouter mon jean pour sortir le matos, et là, je commence à me caresser devant lui.
Ça se voyait qu’il était tout intimidé, mais bon, ça la pas empêcher de bien me mater avec un petit sourire esquissé au coin de ses lèvres.

Je lui lance un : « Vas-y, suce moi , fait toi plaisir donc ! »

Là il me répond en me demandant de fermer la porte. Mais je refuse : « T’inquiète, tu vas voir c’est excitant quand on se fait mater, fais moi confiance. »

Il semble pas trop tiquer, bien, et se met à genoux devant moi et me pompe. Il était si délicat au début que j’ai du le pousser un peu en maintenant sa tête et en faisant des vas et viens pour bien faire glisser mon zeb bien au fond et le faire presque ressortir. A ce moment là, je bande fort, je pense que mes 20cm lui plaisent.

Comme prévu, je vois une silhouette derrière, un mec est en train de nous mater, c’est chaud putain. Je lance discrètement un regard avec un sourire complice mais je n’arrive pas à voir son visage, je semble juste apercevoir qu’il se caresse.

Après un petit moment, je l’attrape par le bras, le relève et le met à 4 pattes sur le lit a coté, je glisse un doigt que j’ai humecté de salive au dans son trou, puis un deuxième. Je sens qu’il se raidi et là il me balance un « Non je suis pas sûr , j’aime pas trop faire ça ».

Et moi « T’inquiète ça va aller, si t’as mal tu me le dis, ya pas de soucis« … tu parles, je compte le démonter comme une pute, mais j’ai l’habitude de ces petits mecs un peu frigides au début, ce sont les meilleurs coups, et quand ils se lâchent, ils se lâche à fond… Bien sûr je compte pas le violer , je sens s’il est crispé ou pas, et maintenant justement, plus je le doigte et plus je le sens se cambrer. Aussi, j’ai la technique, quelques doigts lui lime le cul, mais mon autre main lui masse les fesses et parcoure son dos , les mecs ne résistent pas à ça.

Je bande toujours dur, j’enfile rapide une capote d’une main (l’autre continue à lui titiller la rondelle) et lui enfile mon chibre doucement tout en poussant un râle de plaisir. Il se raidi une nouvelle fois, mais une fois dedans, je sens son orifice se décontracter … putain que je suis bon dedans… Je commence à le limer doucement, je vois toujours le mec qui nous mate derrière.

Là j’accélère la cadence, il gémit de plus en plus en poussant des « hummm » et des « haaaa » comme une meuf. Je savais que sous son air de saint il a l’habitude de se prendre des bites dans le cul.

Pour le charrier et sous le coup de l’excitation je lui dis : « J’te baise la chatte et tu couines comme une meuf, tu vois comme t’aime ça hein, vas y, lâche toi… lâche toi putain« .

Et là il dandine son cul en arrière, je reste droit derrière lui, et il fait tout le boulot, comme une une bonne salope. Je vois ma teub rentrer et sortir de son cul, et ses petites fesses rebondir.

Là je reprend mes coups de bites, et je me défoule sur lui. Je le bourre comme une chienne avec mes deux mains qui l’agrippe au niveau des hanches. Ça claque tellement fort que malgré le son ambiant on doit nous entendre à coté, et r ajouté à ça ses couinements, mais rien a foutre au contraire, que ça les excite.

Je sens que ça monte de mon coté, je continue à le baiser au rythme d’un marteau piqueur tout en lui foutant des fessées et là je peux plus me retenir, je décharge tout au fond de sa cul… Je pousse ma queue au plus profond par accoups  et je sans que ma capote se remplie. Je pousse un râle de plaisir, bien roque et lui je sens qu’il s’astique la bite à fond et là apparemment il se décharge à son tour.

Je m’écroule sur lui, c’était plutôt sportif comme baise, il a bien assuré. Lui aussi semble comblé (et essoufflé autant que moi).

On remonte respectivement nos pantalons, en se lançant quelques regards de satisfaction. Je le remercie et me casse, je sens qu’il allait me demander mon numéro, mais je ne baise pas deux fois la même personne.

En partant, je passe à coté du mateur qui n’avait rien loupé du spectacle, je passe ma main sur son entrejambe pour faire passer un signal, bien décidé à le revoir plus tard, et ça n’a pas manqué… C’était un keum looké lascars TN de la trentaine qui m’a pompé dans les couloirs une heure après. J’avais de la réserve et en éjaculant j’ai niqué son haut le pauvre !

2 mecs dans la soirée, c’était pas trop mal, disons une soirée habituelle au dépot.