C’était l’année où je suis entré en seconde. Pas longtemps après le début des cours, ma mère s’est mise avec un ouvrier qui travaillait sur le chantier de la piscine au bout de la rue, toute une zone de friche que la mairie avait décidé d’aménager pour faire un quartier. D’abord il est venu manger deux ou trois fois le soir, puis ma mère a décidé de lui louer la chambre de mon frère qui était plus grand que moi et qui étais parti.
Il a installé toutes ses affaires là mais il dormait dans la chambre de ma mère. Moi j’en avais rien à faire, c’était pas la première fois, mais celui-là me mettait mal à l’aise et je n’osais pas croiser son regard.
Il ne me parlait pas beaucoup mais quand il le faisait c’était toujours pour me réprimander d’une voie dure, comme si j’étais un gamin de 12 ans, pour que j’enlève mes affaires d’école de la table, que je me dépêche de libérer la salle de bain ou les wc, des choses comme ça, et je m’exécutais toujours rapidement, sans rien dire, comme pris en faute. J’étais mal à l’aise aussi parce qu’il m’excitait beaucoup, c’était un marocain d’une cinquantaine d’années, pas grand mais costaud, trappu avec des mains et des épaules larges, le crane dégarni mais une moustache épaisse, le plus souvent mal rasé avec une barbe de trois jours.
Quand il était là, j’allais tout de suite dans ma chambre après le diner, mais j’ai tout de suite eu envie quand il n’était pas là, le mercredi après midi, d’aller fouiller dans ses affaires et je me branlais avec ses sous vêtements. Je me suis fait prendre au bout d’un mois environ. Je rentre à l’appartement un mercredi après-midi et tout de suite je vais dans sa chambre tout excité et je commence à fouiller. Tout à coup il était là, devant la porte, en pantalon de pyjama rayé et en chaussettes, sa chemise de chantier à moitié déboutonnée… moi j’avais un de ses slips dans une main, l’autre dans mon survettement et je bandais comme un âne.
La première gifle m’a projeté contre le mur, et il a commencé à ma tabasser en m’insultant en français et en arabe… des baffes, des coups de poing et des coups de pied quand je me suis retrouvé recroquevillé par terre. Après m’avoir tabassé, il m’a attrappé par les cheveux et m’a trainé contre le bord du lit, il a mis ses jambes contre mes épaules, et en me tenant pas les cheveux il a frotté mon visage sur ses couilles en me disant
« sale pédé,c’est ça que tu veux ? ».
Je sentais sa queue dure sous les vêtements, il a déboutonné le pyjama et s’est contorsionné pour faire sortir sa queue par l’ouverture du slip, il me l’a mise devant la bouche, a forcé les lèvres et enfoncé jusqu’au fond de la gorge. En me tenant à deux mains par les cheveux, il m’a pilonné la gorge, j’avais mal aux cheveux, aux machoires et des hauts le coeur quand il tapait au fond, mais je n’arrivais pas à me défaire de son étreinte.
Quand j’ai essayé de le repousser en appuyant sur ses jambes il m’a donné un coup de genou qui m’a coupé le souffle, et j’ai dû supporter ses assauts jusqu’à ce qu’il lâche sa purée épaisse au fond de ma gorge que j’ai essayé d’avaler comme j’ai pu. Il m’a laissé par terre toussant, crachant, essayant de reprendre mon souffle parce que j’avais avalé de travers, pendant une dizaine de minutes, puis il est revenu dans la chambre et m’a dit que j’allais aller chialer ailleurs et ne pas l’empêcher de dormir.
Il m’a repris par les cheveux et a basculé ma tête en arrière, en mettant son visage devant le mieux il m’a demandé :
« c’est compris petite pédale? »
Et quand j’ai dit oui il m’a craché au visage, m’a fait mettre debout et poussé dans le couloir. Je suis sorti aussitôt et je ne suis rentré que tard le soir pour ne pas me retrouver à table devant lui.
Il avait commencé à travailler en horaires décalés, en partant à 5h du matin pour finir vers 1h l’après-midi.
Il ne s’est rien passé les jours suivants et le week-end, mais le mercredi suivant il est venu dans ma chambre le matin, avant de partir travailler, pour me réveiller et me dire sur le ton d’un ordre de rentrer du lycée tout de suite après les cours. Toute la matinée, j’y ai pensé, à cet ordre qui me faisait peur, au ton de sa voix qui me faisait trembler rien que d’y repenser, et je voulais rester dehors tout l’après-midi et ne revenir à l’appartement que le soir quand ma mère serait rentrée du travail. Mais quand midi est arrivé, j’avais encore plus peur de lui désobéir et j’ai pris le bus pour rentrer tout de suite. Je suis arrivé avant lui et je suis resté debout dans la cuisine, sans être capable de rien manger et sans savoir quoi faire.
Quand il est arrivé, j’ai entendu sa clef dans le serrure et j’ai commencé à trembler. Il est entré, a refermé la porte et il est venu tout de suite près de moi qui regardais par terre. Il a attendu quelques instants, je sentais sa respiration rapide et l’odeur de vin de son haleine, puis il m’a balancé une gifle lourde qui m’a fait tourner la tête, et je crois que j’ai tout de suite commencé à pleurer. Il m’a dit de me déshabiller, en slip et en chaussettes, et de me mettre à genoux. J’ai enlevé mes vêtements sans le regarder et je me suis mis à genoux dans le salon en reniflant. Il est venu devant moi, je voyais ses bottes de chantier et le bas de son bleu de travail, et il a dit qu’il allait s’occuper de moi, que j’allais m’en souvenir.
Il prenait ma tête pour la frotter contre son bleu de travail, ou pour me repousser et me faire tomber, il tournait autour de moi en m’insultant, en frottant sa botte contre mon cul, ou en l’appuyant sur ma main pour me forcer à la nettoyer avec ma langue, je devais toujours me remettre à genoux devant lui et recevoir des gifles, des coups de pieds dans les fesses, des crachats. Il avait ouvert son bleu et sorti la bosse de son slip qu’il m’écrasait sur le visage.
Il m’a obligé à sucer sa bite dure à travers son slip à poche, avant de la sortir par l’ouverture et de me la mettre dans la bouche et, quand il a senti qu’il allait venir, il s’est retiré et il a joui sur mon visage en me tenant par les cheveux. Après il a essuyé le sperme avec ses doigts qu’il me mettait dans la bouche et il m’a fait lécher sa jute tombée par terre.
Je pensais avec soulagement que c’était fini mais il m’a dit de rester comme ça, qu’il allait manger et qu’après il allait m’enculer… J’étais terrorisé, à l’époque je n’avais encore jamais fait ça et j’étais sûr qu’il allait me faire très mal, et j’ai recommencé à pleurer. Il s’est mis à manger tout en me regardant d’un air mauvais par la porte de la cuisine. Il se moquait de moi en me posant des questions, et j’ai dû lui dire que c’était la première fois, et le supplier de ne pas le faire.
Mais il m’a dit que c’était tout ce que je méritais, qu’il connaissait les « zamels », qu’il allait me dresser et que j’en redemanderais. J’étais toujours à genoux par terre dans le salon, j’avais mal aux rotules et quand, au bout d’un quart d’heure, il m’a demandé de venir auprès de lui je ne l’ai pas fais tout de suite. Il s’est levé en renversant sa chaise derrière lui et il a dit qu’il allait m’apprendre à obéir.
J’ai voulu me relever mais il m’a poussé contre le canapé, la tête dans les coussins, il a saisi un tuteur en bambou dans un pot de fleurs à portée de main et il a commencé à me battre sur les fesses avec cette canne. Comme je criais, il est allé chercher un de mes slips dans le bac à linge de la salle de bain et il me l’a enfoncé dans la bouche avant de recommencer à me corriger durement avec sa canne. Quand il s’est lassé, il s’est mis derrière moi, je l’ai entendu ouvrir son pantalon, il a écarté mon slip et mes fesses et après avoir craché sur mon trou et mis de la salive sur son sexe, il est entré en moi et m’a embroché jusqu’à la garde. J’avais le souffle coupé, je ne pouvais plus respirer, et une terrible douleur.
Il me tenait la tête dans les coussins mais j’entendais ses insultes et ses moqueries quand il me disait:
« alors pédé, c’est ça que tu voulais? tu la sens bien dans ton cul? »
… en donnant des coups de rein. Mais il ne bougeait pas beaucoup, il voulait profiter de mon humiliation avant de jouir, et j’ai quand même pu avoir moins mal avant qu’il commence à me limer vraiment. Il a joui assez rapidement dans mon cul, heureusement je n’aurais pas pu supporter ce traitement longtemps, et il s’est retiré en me disant que j’étais un vrai enculé maintenant.
Il s’est relevé, s’est réajusté et est resté là à me regarder. Il a ri quand le chien est venu me sentir et que ça m’a humilié encore plus. Comme je n’osais pas bouger, il m’a demandé si j’attendais d’être bourré à nouveau, et il m’a regardé en rigolant méchament me rhabiller. Il m’a interdit de m’essuyer avec le slip que j’avais eu dans la bouche, il m’a dit qu’il voulait que je sente que ça coule et que mon cul lui appartenait maintenant. Alors je me suis rhabillé comme j’ai pu et je suis parti dans ma chambre, mais avant il m’a obligé à lui baiser la main et à lui dire merci.
Tous les mercredis suivants se sont passés à peu près de la même façon. Il voulait que je l’attende déjà en slip, à genoux dans le salon, prêt à recevoir ses ordres et à satisfaire toutes ses envies. Et la première de ses envies était toujours de me rabaisser et de me battre, pour me faire obéir comme il disait, mais il le faisait même quand j’obéissais à tous ses désirs. En fait ça l’excitait de me dominer et de m’humilier et il inventait à chaque fois quelque chose pour me rabaisser encore plus.
Ca commencait toujours par une séance de gifles et de coups, lui en tenue de travail et moi en slip, et je devais le faire jouir dans ma bouche avant qu’il mange. Après il enlevait ses bottes et son bleu de travail pour se mettre en slip et en marcel, ou en caleçon long et maillot à manche longue pendant l’hiver, et la séance continuait jusqu’au moment ou il se décidait à me sodomiser. Il ne se mettait jamais nu, et il ne m’a jamais demandé d’être nu devant lui. Même pour la sodomie, il préférait que j’écarte mon slip et il me prenait toujours de dos, courbé devant lui dans une attitude de soumission, jamais de face. Quand il me regardait de face, c’était toujours pour voir mon humiliation par exemple quand il me faisait répéter des choses, ou quand il me faisait allonger sur le canapé, la tête dépassant de l’accoudoir, et qu’il m’emjambait pour coincer ma tête dans son entrejambe et frotter ses couilles ou ses fesses sur mon visage en m’obligeant à l’exciter avec ma langue.
Et à la fin de la séance, je devais toujours le remercier et lui baiser la main droite. Ca a duré comme ça une bonne partie de l’année scolaire, tous les mercredis, et il m’ignorait les autres jours. J’étais totalement sous sa coupe et je n’essayais même plus de résister ou de me protéger quand il me battait: à genoux devant lui, je savais que je devais avoir les mains dans le dos pour recevoir les gifles, je devais aller chercher le tuteur en bambou et présenter mes fesses quand il voulait me battre avec la canne, je devais prendre la position à quatre pattes s’il voulait me donner des coups de pieds au derrière… Ca s’est terminé au printemps, il n’avait jamais participé au loyer depuis des mois, et quand il a dit qu’il partait deux semaines chez lui au Maroc, ma mère a bien vu que tout l’argent était pour sa famille, qu’elle s’était fait avoir et elle lui a demandé d’emporter toutes ses affaires.
Pendant quelques temps, je restais à l’appartement le mercredi après-midi, tout habillé, en tremblant de penser qu’il pourrait revenir sachant que j’étais toujours seul à la maison à ce moment là. Mais il n’est jamais venu et petit à petit je l’ai oublié.
Les années ont passé et, à l’approche de la cinquantaine, je repense parfois à ces jours-là avec beaucoup d’excitation. J’aimerais revivre une expérience comme celle-là, avec un ouvrier qui rentre du travail et qui veut se vider les couilles avec un mec soumis, pas forcément un nord africain d’ailleurs et je me fiche aussi de la taille du sexe, c’est la situation qui est excitante pas les détails physiques.
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salut.